Après 15 ans d’expérience pour l’opéra, le théâtre, le ballet, le cinéma et la mode, Salvador Mateu Andujar développe une pratique personnelle dans un esprit de recherche.
Il a collaboré régulièrement avec le créateur Jésus del Pozo et des costumiers prestigieux comme Yvonne Blake, Franca Squarciapino, Eiko Ishioka, Françoise Tournafond, Madeline Fontaine, Pierre-Jean Larroque ou Pedro Moreno.
En 2008, il rejoint la London College Fashion of Arts.
En 2009, Salvador s’installe à Paris et se spécialise dans le stylisme et le modélisme à l’École de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne. Il se passionne pour la Haute Couture et les métiers d’arts français comme la marqueterie de paille, qu’il pratique avec la maître d’art Lison de Caunes.
2016, Salvador Mateu Andujar travaille sur l’exposition événement Jesus del Pozo pour la Communauté de Madrid.
Il collabore avec la fondation Pierre Bergé – Yves Saint Laurent pour la réédition de coiffes de la collection africaine de 1967 et avec Dior Héritage pour l’exposition événement «Dior, un couturier de rêve» au musée des Arts Décoratifs au Louvre en 2017. Sa technique de «mannequin invisible» fait de lui un collaborateur pour les expositions de Paris et de Sydney.
Salvador Mateu Andujar a collaboré avec le chorégraphe David Drouard ([H]ubris, Sacre), le metteur en scène Ulysse Di Gregorio. Il a réalisé la tenue de scène de l’artiste résident de la Villa Medicis Alvise Sinivia pour sa nouvelle performance dansée autour des cordes de piano.
En 2018 c’est sur invitation du chorégraphe suédois Johan Inger que Salvador a fait une création pour une nouvelle version de Petrouchka dans le cadre de l’anniversaire de Nijinsky par les Ballets de Monte Carlo.
En 2019 Jean-Christophe Maillot, directeur des Ballets et chorégraphe, l’invite à faire la création costume de Core Meu, spectacle musical autour de la tarentella.
2021 et 2022 sonnent l’heure de nouvelles collaborations avec les chorégraphes Goyo Montero, directeur du Staatstheater de Nuremberg (RFA), avec Narrenschiff & Goldberg, et avec Johan Inger au Staatsoper de Stuttgart avec Uraufführung dans le cadre de la soirée Pure Bliss. Il réalise la scénographie d’Uraufführung.

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